A quarante-trois ans de distance, ne me demandez pas de vous détailler dans quel
Ça pue les colins de l'époque (
Ça pue les colins : une émission offerte par le suffrice dentiper Colfryle à la chlorogate) j'ai lu en Maison de la Presse cette ahurissante et définitive sentence :
Car, vous êtes bien d'accord avec moi, Johnny n'est plus un vrai Yéyé. C'est un rocker.
De nos jours, les féminazies regorgent en sentences du même genre :
... Badinter ... et je ne crois pas qu'elle soit même une féministe tout court. En tous cas elle n'est pas reconnue comme telle par les féministes...
... la très antiféministe Badinter ...
Alors vraie féministe, ou pas vraie féministe ?
Parce que pour nous, qui ne sommes pas de vrais yéyés, je trouve que c'est assez bien imité.
...
...
Heu non, le taux de fautes professionnelles au litre est tout de même nettement moins élevé que chez les authentiques féminazies. Il reste très proche de celui des féministes historiques, au temps où c'était une attitude minoritaire et courageuse. Un temps déjà fort lointain.